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Editions Du Cursinu
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NANT' À I CHJASSI DI A MALAVITA : Sur les chemins de la mauvaise vie
Michel Ucciani
- Editions Du Cursinu
- 1 Janvier 2025
- 9791090869585
Dans la prison Milanaise où il attend d'être jugé pour braquage, Ange Colonna croise Vito Denaro, parrain de Cosa Nostra. Un lien particulier, fondé sur l'entraide et le respect mutuel, va naître entre les deux hommes. À sa sortie, Ange travaillera pour le Sicilien, dans un contexte de lutte de pouvoir entre familles influentes. Le « Corse de la maffia » deviendra l'homme de confiance du parrain toujours incarcéré, et dont l'autorité est contestée.
De la Calabre à la Sicile en passant par la Corse et les États Unis, ce roman noir, sec et haletant, décrit la dérive d'un voyou ordinaire, mu par le sens de l'honneur et une certaine fascination pour la pègre. -
Les Fades, un hameau incertain perdu dans les monts de Blond. Ses masures, sa mare communale sinistre et ses chats errants. Les Fades, cernées de prés trempés, d'étangs encombrés d'arbres morts et de vastes forêts où l'on a jadis dispersé des pierres à légende.
Les Fades où ne vit qu'un vieillard nommé Gus.
L'héritage n'est pas la maison de la défunte Suzanne Werther, que son petit-fils Simon est venu rafraîchir et où il profitera du temps et de l'isolement nécessaire pour essayer d'écrire un roman.
L'héritage n'est pas non plus dissimulé dans les tiroirs, sous le plancher ou derrière les poutres, comme l'espérait Simon.
L'héritage surviendra par un matin brumeux sous la forme d'une fille aux longs cheveux sur une mobylette orange.
Elle se nommera Olga. Elle sera belle, naïve, troublante.
Simon, envoûté, tardera à détecter le démon tapi sous l'enveloppe de l'ange. -
SULLEONE : Broché 14X20 couverture à rabats
Olivier Collard
- Editions Du Cursinu
- 1 Janvier 2025
- 9791090869332
Été 1976, la Corse est sur une poudrière...
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A MALAMORTE : A MALAMORTE & L'EAU DU CIEL
Olivier Collard
- Editions Du Cursinu
- 1 Janvier 2025
- 9791090869578
A malamorte : symbole du déshonneur suprême. Ici, la mauvaise mort est abordée sous un angle relativement inédit dans le registre du roman noir : l'erreur judiciaire.
Les protagonistes y sont confrontés à leur destin. Tel cet ancien instructeur des forces spéciales, qui pensait s'éteindre à petit feu sans s'acquitter du moindre gage pour le mal commis. Et puis cet accusé victime des coïncidences, portant si bien les oripeaux de la culpabilité. Il y a aussi ce détective déviant, réac et magouilleur, bien résolu à faire la lumière sur ce meurtre odieux, et le fiasco judiciaire qui s'ensuivit. Il y a surtout le règne du mensonge : une comédie où chacun tient tellement bien son rôle qu'il s'y enfonce, inexorablement.
Une représentation du monde définitivement fataliste, avec pour seule issue cette justice ultime devant laquelle tous sont égaux. Un récit abyssal et palpitant, où le lecteur est vite happé dans un tourbillon temporel qui le plongera six décennies plus tôt, en pleine guerre post-coloniale. -
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Quelque-part entre le « Col Perdu » et ce lieu maudit que des marchands de rêve nommaient « Cirque de la Solitude », là-haut dans le Nìulu se dresse un abri incertain, l'unique refuge de ce tronçon banni de toute randonnée.
Tremble, randonneur égaré : il existe un « GR interdit ».
Malheur aux intrépides qui passeraient outre !
Ici, dans cet endroit rayé de la carte, il n'y a rien : ni câbles ni balises, et pas la moindre aire de bivouac. Ne serait-ce « Cimale », un gîte de fortune tenu par Jean-Loup le berger, enfin... Le faux berger. Un margoulin exclu des foires artisanales, reclus dans ce repli du monde où il guette le badaud. Avec ses chèvres réformées il dit qu'il fait du bon fromage, il vend aussi des saucissons à la remballe.
Et puis il y a Merien et Silvia, un vieux couple venu en « pèlerinage » sur le lieu de leur première rencontre, c'était il y a quarante ans, jour pour jour. Ils réaliseront, mais un peu tard, que cet endroit coupé du monde est devenu méconnaissable, et qu'il s'en passe de belles. Les aventuriers qui montent jusque-là sont trop bizarres : extatiques ou renfrognés. Et les soirs d'orage, même les animaux ont des comportements étranges... -
A malamorte: symbole du déshonneur suprême. Ici, la mauvaise mort est abordée sous un angle relativement inédit dans le registre du roman noir : l'erreur judiciaire.
Les protagonistes y sont confrontés à leur destin. Tel cet ancien instructeur des forces spéciales, qui pensait s'éteindre à petit feu sans s'acquitter du moindre gage pour le mal commis. Et puis cet accusé victime des coïncidences, portant si bien les oripeaux de la culpabilité. Il y a aussi ce détective déviant, réac et magouilleur, bien résolu à faire la lumière sur ce meurtre odieux, et le fiasco judiciaire qui s'ensuivit. Il y a surtout le règne du mensonge : une comédie où chacun tient tellement bien son rôle qu'il s'y enfonce, inexorablement.
Une représentation du monde définitivement fataliste, avec pour seule issue cette justice ultime devant laquelle tous sont égaux. Un récit abyssal et palpitant, où le lecteur est vite happé dans un tourbillon temporel qui le plongera six décennies plus tôt, en pleine guerre post-coloniale.